mardi 27 mai 2008

We love sonique


Clap your hands and say yeeeaaaaahhhh....La toute prochaine We love que tout le monde attendait est enfin prévue : Grande Halle de la Vilette entièrement rénovée, des DJs sets pointus, une selection electro sauvagement mixée, et un festival de robes JCDC, sweats American Apparel et tops Berangère Claire.


Le 7 juin à partir de minuit, We Love Art invite LE maître des platines, le merveilleux, le magnifique, l’incroyable : Ricardo Villalobos....le surdoué de l'éléctro... et ouai, là on dit merci. Depuis la We love playhouse à l'Aquaboulevard, tout le monde l'attendait, We love Art l'a fait.
A coté également aux platines : Tomas Melchior et Turzi electro project (ambassadeurs de la nouvelle génération d'artistes qui ont su dépoussiérer le krautrock avec subtilité pour montrer à quel point sa modernité est intacte)

Et ça c'est cadeau



Try to remenber

WE LOVE SONIQUE
SAMEDI 7 JUIN 2008

A partir de minuit

GRANDE HALLE DE LA VILLETTE
Achat des préventes

samedi 24 mai 2008

we love vintage

Bon, ça fait maintenant une semaine qu'on attend les photos du shooting de B., on en finirait par se demander si elle ne l'a pas révé. Bref, donc, je prend les choses en main, puisqu'il le faut bien, et vous fait un petit post sur ma grande spécialité : le vintage.


On me demande souvent où j'achète tel ou tel truc, comment je fais pour trouver des choses portables dans les friperies etc... Le vintage, ça se mérite. Trouver une belle pièce, c'est du travail, mais ça vaut le coup : non seulement, en cherchant bien, on trouve des trucs très stylés, mais surtout, on est sures de pas retrouver sa jupe à pois sur les fesses de toutes les filles de la fac, un peu le contraire de H&M.


Certaines vous diront (comme Bubbled, j'en suis sure) qu'il faut fouiller, retourner la boutique en entier, observer chaque pièce de chaque friperie. Alors oui, c'est sur, ça marche, mais c'est long. Et c'est chiant, faut dire ce qui est. Voici don un petit guide du vintage à l'usage des impatientes et des flemmardes. Des filles comme moi quoi.

On commence par le plus facile : les chaussures


La plus part des pièces vintage que je possède sont des chaussures, normal, c'est le plus facile à trouver. En un seul coup d'oeil, on repère d'abord la couleur (tiens, du rouge, c'est sympa ça, les chaussures rouges). En se rapprochant, on se rend compt de la matière (du chevreau? je prend direct. Un vieu cuir griffé? je passe à la paire d'après). En extirpant l'objet de la montagne d'autres chaussures on repère si la forme va (trop pointu? beurk pas assez décolleté sur les orteil? re-beurk). Et enfin, on essaie. Bah ouais, parfois c'est dégueu, parfois y'a encore un vieux pansement collé dedans, mais pas le choix, on essaie, car on ne se rend bien compte de l'allure de la bête qu'au pied.

L'astuce de Mamie Charlotte : d'abord on pense à pas venir en basket (défaire ses lacets toutes les 3 minutes ça gonfle très vite) et surtout on pense à emporter un petit sachet en plastique, pour glisser son pied dans des chaussures dégoutantes sans avoir peur d'attraper la malaria.
Une fois rentrée avec vos nouvelles (vieilles) chaussures, pensez à désinfecter l'intérieur à l'alcool à 90.



Le déjà vachement moins fastoche : les vêtements.

Acheter de la robe vintage demande un peu d'astuce et pas mal de créativité. Ma technique : de regarder vraiment que ce qui m'attrape l'œil en rayon. Ça peut être un imprimé, une couleur, une matière, des paillettes, des rayures, des pois.... Si on commence à détailler les portants blindés, on est pas arrivées...
Il ne faut jamais voir le vêtement comme il est, il faut toujours imaginer ce qu'il pourrait donner. Une robe trop longue ne demande qu'à être raccourcie, une jupe trop ample devient une robe bustier, une veste d'homme devient un gilet oversize...bref, utilisez votre imagination. Il est souvent compliqué d'essayer dans les friperies, donc je vous recommande de bien connaitre votre taille, ou d'y aller en leggings et t shirt, pour pouvoir essayer par dessus, dans un coin de la boutique.

Ça se complique : la maroquinerie.


En soi, trouver une pochette dans une friperie, ça n'a rien de compliqué, il y en a des tas. Ce qui est plus dur, c'est de trouver LA pochette. Alors si vous voulez une pochette en cuir noir toute bête, tant mieux pour vous, ça prendra entre 2 et 3 minutes. Maintenant si tu es comme moi, et que tu veux du cuir verni,des écailles de python, de la fourrure de lapin ou du logo, bah...t'es pas au bout de tes peines. Devant un amoncellement de sacs, première chose : on guette le lézard, le croco et autres joyeusetés. Ne pas hésiter à foutre en l'air ladite pile de sac, souvent des petites malines planquent de merveilles en dessous pour les acheter plus tard. Le plus facile, pour ça, c'est ebay. On voit bien les pièces une par une. Tapez "vintage purse" sur ebay.com, vous verrez par vous même, pour faire le tri ça va beaucoup plus vite.
Si tu veux du logo, par contre, direction les déports vente. Oui, il y a beaucoup de tailleurs chanel des années 80, mais en cherchant bien, on trouve des pochettes Vuitton ou Dior autour de 60 euros.


Ça devient presque impossible : les bijoux anciens



Très peu de bijoux dans les friperies. La solution : soit être très riche et aller Rue Saint Honoré, vous y trouverez pleins de bijous anciens, avec pleins de vrais diamants, et pleins de zéros derrière. L'autre solution : les vides greniers. Entre un stand de couverts en argent et un stand de lampes bizares des années 60, il y a toujours un stand avec une petite mamie qui vend des bijoux fantaisie anciens, en général pas trop cher. Si vous en prenez plusieurs, vous pourrez même négocier.

Les bonnes adresses de C :

Free'p star, évidement. Attention : GROS FOUTOIR, mais on finit toujours par trouver un petit truc : 61 rue de la Verrerie, dans le marais. Le truc en plus : le bac à 3 euros

Vintage Désir : 32 rue des Rosiers. Ma préférée, sélection très pointue, boutique toujours bien rangée. Le truc en plus : si vous tombez sur le propriétaire de la boutique, il vous racontera pleins de choses intéressantes sur la fripe et vous conseillera très efficacement.

Chez Mamie : 72 rue Rochechouard. Que des merveilles, une boutique remplies de belles pièces, mais un peu plus cher que la moyenne. Le truc en plus : pas vraiment besoin de fouiller puisque tout est beau.

Iglaine : 12 rue de la Grande Truanderie. Vous ne vous ferez pas truandez ici (ha ha ha...bref). Le truc en plus : génial pour trouver des pièces années 60.

Guerrisol : 17 bis boulevard de Rochechouard. Probablement la friperie la plus dégueu de Paris, mais on trouve des trucs top en se forçant un epu (attention, nez sensibles s'abstenir). Le truc en plus : chaussures à 3 euros, multiplie le pouvoir d'achat par 10 quand les fins de mois sont difficiles.

Oh Lumière : 21 rue de la République. Friperie branchouille par excellence. Le truc en plus : l'endroit où aller si vous cherchez des baskets old school.

Mamzelle Swing : 35 rue du Roi de Sicile. L'endroit rêvé si vous voulez ressembler à une vraie pin-up. Du vintage qui vole haut. Le truc en plus : la propriétaire de la boutique est passionnée par son job et peut vous raconter des choses passionnantes sur tous les articles de sa boutique.

Sinon, ebay, pour les flemmardes et les jours où il pleut et qu'on a pas envie de sortir. Les pouces de Saint-Ouen, mais je trouve que ça devient de plus en plus la foire à n'importe quoi.
Si vous chercher une destination de petit week end shopping, je ne saurais que vous recommander de partir à Amsterdam. Deux solutions : soit tu fumes un gros joint en arrivant, tu es stone pendant deux jours et tu reprend le train sans avoir rien vu de la ville. Soit tu prend un vélo, tu vas dans le quartier des 3 canaux, et tu fais friperie fantastique sur friperie fantastique. Quoiqu'il en soit, n'oublie pas de manger des frites.

Voilà, j'espère vous avoir un tout petit peu aidé. D'autres idées? Bonnes adresse?

vendredi 16 mai 2008

Shoot...


Comme vous avez pu le remarquer, ce blog a un peu été laissé en friche cette semaine. J'ai bataillé avec le temps pour faire 2 articles. La raison : des cours mais aussi et surtout la préparation d'un shooting au studio pin up dimanche.

Cas fortuit : j'ai appris aujourd'hui que la mannequin choisie était une de mes amies.

Dès que j'ai le temps je vous raconte tout ça...en photo et pour me rattraper, demain je vous ferai part d'une trouvaille, blanche, douce, ample et confortable...tic tac tic tac

mercredi 14 mai 2008

Make up inspiration

En ce moment, le maquillage tient une place primordiale. Non pas qu'il n'était pas présent lors des autres saisons, mais cet été, il est particulièrement soigné. Une tendance se profile : le fluo, et là je ne vous apprends rien.

Un rose atomique sur les ongles, un bleu fluorescent sur les yeux, ou encore un rouge sanguin sur les lèvres, cet été on ose tout!





dimanche 11 mai 2008

mardi 6 mai 2008

Le 66, 20/20

Les concept stores, j'adore, l'art de tout trouver dans un seul et même endroit, ou l'art de moins user ses semelles.

Le 66, c'est un peu mon chouchou. Les prix sont aberrants, l'endroit est super mal choisis pour du pseudo hype (les champs Elysées), mais ça me passe au dessus, j'adore quand même.

Et en mai, au 66, on trouve 2 choses à tomber (oui on est gâté)

La marque Kind et les bijoux du créateur Baptiste Viry.

Crée en 2004, Kind travaille essentiellement la maille "haute de gamme". Matières raffinées, détails soignés, Kind a construit sa collection autour d'un seul et même thème : la prestigieuse vie royale.

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Baptiste Viry est diplômé de l’école de la chambre syndicale de la Couture Parisienne. Major de sa promotion, il sort vainqueur des Trophées Saint Roch en 2006. Il intègre en 2006 le studio de création Hermes et lance sa première collection éponyme de prêt-à-porter féminin. Il participe à différents festivals et concours internationaux de jeunes créateurs comme celui de Kobe en 2005 et de Dinard en 2007 dont il gagne les premiers prix. En 2008, Baptiste Viry développe parallèlement au prêt-à-porter femme, une collection mixte de bijoux et de chapeaux.

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Le 66, 66 avenue des Champs Elysées 75008 Paris

lundi 5 mai 2008

Monday : rise and SHINE

Traditionnellement, le lundi j'ai tendance à faire la gueule. Traditionnellement, le lundi d'après le week-end du 1er mai, j'ai tendance à être blasée. Traditionnellement, le lundi d'après les vacances, j'ai tendance à avoir envie de buter un caniche.

Mais non fais pas cette tête là Titus, je déconne...

Mais là. Là...LA c'est la conjoncture qui tue. Déjà, on s'habitue vite à se lever entre 12 et 14h (sachant que l'apéro selon ma conception ça commence à 19h et ça finit à slalomer boulevard saint michel en vélib vers 4 heures). En plus, on s'habitue vite à pas aller bosser (surtout quand aller bosser = se coltiner les vieilles rombières de la rue de Passy). Et puis on s'habitue vite à pas aller à la fac (= faire semblant d'en avoir quelque chose à foutre de l'avis de la Cour de cassation sur la tonsure bi-annuelle du mouton vert des alpes suisses).

Mon allure du lundi-pue-le-pipi : épaules rentrées, mains dans les poches, yeux rivés au sol :


Oh! Mais que vois-je? Tiens, ça brille par ici! Eh oui, maintenant, grace à Gaspard, le lundi, c'est funky! Youpi.


Gaspard Yurkievich, l'ami des lundis shiny. Merci mon chéri! Et pour aller avec mes nouveaux escarpins cosmiques, nul besoin de s'enrouler dans du papier alu. Un total look noire et des touches d'argent, c'est magique!

Ha ha maintenant, le lundi, moi je shiiiine! Et vous?


Photo 1 : Chapeau vintage (freep star) Pull en coton Rykiel Homme Short Gap Escarpins Gaspard Yurkievich Photo 2 : Pouf Muji Jupe brodée de sequin Louis Vuitton
Photo 3 : Gants Barney's New York
Baguette magique Claire's accessories Pochette vintage
Photo 4 : Robe en coton Ba&Sh

dimanche 4 mai 2008

Icone


J'ai acheté la première biographie de Kate Moss réalisée par Françoise-Marie Santucci aux Éditions Flammarion. Je me suis dit : sans grand intérêt, mais à voir. Au bout de 10 pages j'ai changé d'avis. Ce livre n'est pas seulement à voir mais il est à acheter.

Dans cette remarquable biographie, Françoise-Marie Santucci lève pour la première fois le voile sur la «reine du cool», de son adolescence mouvementée à ses débuts sur les podiums, de ses amours scandaleuses à sa reconversion en femme d’affaires. Kate Moss ou l’icône d’une génération. La nôtre.